De plus, ils suggèrent de manière implicite l’existence d’une communauté écologique non-territoriale dont le spectateur pourrait faire partie. Ils évoquent l’éco-citoyenneté à travers un ensemble de stratégies textuelles et visuelles qui rendent visible le lien entre l’acte individuel et une collectivité ou un système. Les films s’adressent à un spectateur éco-citoyen, qui laisse entrer une considération de conséquences sociales et écologiques dans ses choix alimentaires. L’article analyse le point de vue de ces films et les valeurs implicites qui les animent. Le quatrième, Entrée du personnel (2011), expose les conséquences humaines du système. Cet article analyse quatre documentaires français récents qui critiquent l’agriculture intensive française, dont trois proposent des alternatives au modèle industriel : Herbe (2009), Solutionslocales pour un désordre global(2010), et Steak (R)évolution (2014). Depuis une quinzaine d’années, de nombreux films documentaires exposent les menaces posées par l’agriculture industrielle à la santé humaine, au bien-être animal, et à l’environnement.
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